Ces derniers temps, j’ai pris conscience de mon quotidien et de mon hygiène de vie. J’ai modifié mon alimentation, marchait pendant deux heures deux à trois fois minimum chaque semaine.
Pourquoi ai-je décidé d’harmoniser ma vie ? J’ai découvert la rose des vents sur mon passage.
Je me suis aperçue que je travaillais sans écouter mon corps, mon âme.
Le temps que je réaligne mes chakra, ma vie vers les buts fixés tous les jours.
J’ai trouvé un itinéraire vers l’étang où j’habite. Le bruit de l’eau, les oiseaux qui volent au gré du vent des pas et les magnifiques couleurs verdâtres des feuilles du circuit.
Ce chemin fait environ 4 à 6 km et il me prend deux heures de mon temps.
Je peux vous affirmer que le lendemain, les jambes ou plutôt mes mollets me font remarquer leurs présences par des petites douleurs.
J’ai découvert, lors de recherches sur l’activité sportive, que la douleur n’est pas réelle. Elle est uniquement dans la tête. Dès que j’ai entendu cette phrase, j’ai compris que j’écoutais mon corps au mauvais moment de la journée. Il suffisait que je ne l’obéisse plus pour continuer et c’est ce que j’ai fait.
J’ai énormément apprécié ma nouvelle vie.
Je réapprends à renouveler mon énergie et je découvre mon imagination. En écoutant de la musique, ou bien le vent, on éveille les sens avec ce qui nous entoure.
Mon imagination, ma mémoire ne me fait point de défaut, mais le repos est aussi important dans la vie.
Je mange équilibré avec une pointe de végétarisme, je dors mieux, je pratique la marche et mon corps me remercie. Je réapprends aussi à discuter avec les promeneurs, les coureurs, les cyclistes.
Communiquer de plus en plus est une forme de thérapie. Je recharge mes batteries pour qu’elles soient optimisées au maximum.
Je lis beaucoup et je suis surprise, car il y a des livres que j’avais dans ma bibliothèque et que je ne saisissais absolument rien. J’avais l’impression que mon cerveau ne voulait pas apprendre ou bien comprendre.
Maintenant, ces livres deviennent plus claires et surtout les mots ont enfin un sens.
Il suffisait de marcher, de reprendre une activité sportive pour que tout s’enclenche facilement.
Suivez votre rose des vents.
Je désespérais ! je voulais avancer, mais je n’arrivais pas.
Finalement, il m’a suffi de ne pas écouter le cerveau et de me lancer.